Une association de jeunes s’emploie depuis quelques mois à initier des « Talibés » d’un Daara rufisquois à l’alphabet français. L’objectif est de donner les moyens d’une réinsertion future à des enfants qui n’ont jamais été à l’école publique pour la quasi-totalité. Ses initiateurs comptent bien élargir et pérenniser le projet mais font face à des difficultés matérielles.
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"Une façon irresponsable de laisser s'y fertiliser le terreau de l'intégrisme islamiste tout en prétendant prendre des mesures sécuritaires contre les menaces réelles à nos portes" Par Guorguez
Il y a lieu, face aux menaces réelles d'une infiltration du pays par le terrorisme, d’être davantage plus regardant sur les passerelles que sont ces financements d'instituts et de mosquées dont le but inavoué des bailleurs étrangers est d'inoculer le virus de l'intolérance et de la division religieuses.
Dj Malick, (Malick Ngayde) de son vrai nom, a osé, et le réussit d’ailleurs avec brio, un pari aussi singulier qu’improbable : mener son combat citoyen par le biais des réseaux sociaux.
Une flopée de compliments et autres réactions teintées d’admiration ont salué l’action philanthropique dernière de Guorgui Sy Dieng.
Des dons de matériels médicaux d’une valeur financière supérieure au budget de la Fédération de Basket. Le tout en toute humilité comme son comportement qui devrait bien faire des émules.
Et pourtant, rien n’y l’y force, il aurait bien pu, comme tous les autres "surmédiatisés" sénégalais, penser et agir en se considérant comme centre du… terrain.
Il
n’y a pas de « sale » métier. Ailleurs on laboure la terre, ici on
retourne les déchets à la recherche de la « matière ». Des centaines, des milliers de personnes selon des chiffres aussi incertains et fluctuants que "l'informalité" régnante, viennent y gagner leur pain enfoui sous les ordures,
parfois à l’insu de leur entourage. La souillure est inévitable mais heureusement
que l’argent qu’on collecte à Mbeubeuss n’a pas d’odeur.
Si les turfistes attitrés, autrefois occupés à braver
le hasard sur le bon couplé à placer semblent avoir enlevé le pied de l’étrier,
leurs « poulains » ont, eux, investi en masse le champ du pari. Sous
une autre forme, mais à un galop bien plus soutenu. Pari gagnant pour la Lonase
mais la mise est grosse pour une Société : sa Jeunesse.
Nous leur avons donné le nom de nos rues,
Avenues, Boulevards, Places publiques… Voyons qui ils ont été pour nous....:
Rue Jules Ferry : (28 juillet 1885)
« Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! Il faut dire ouvertement qu’en effet les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures.
« Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! Il faut dire ouvertement qu’en effet les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures.
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